Nour Essa est un des quatre étudiants qui ont interrogé le pape François le 17 février 2017, lors de sa visite à l'université Roma Tre. Née à Damas, elle est une réfugiée syrienne de 31 ans, arrivée en Italie en avril 2016, avec son mari et leur fils …
Les célébrations de la Saint Valentin, organisées par l'île grecque de Lesbos, qui abrite des reliques du martyr, provoquent l'ire de l'Eglise orthodoxe locale.
Le Vatican accueille neuf autres réfugiés syriens en provenance de l'île grecque de Lesbos, a fait savoir le Bureau de presse du Saint-Siège le 17 juin 2016.
«Le monde nous sourit», assure Suhila, qui faisait partie du groupe de 12 réfugiés syriens que le pape a emmenés avec lui de Lesbos, en Grèce, fin avril dernier.
Les «efforts humanitaires sont souvent conditionnés par des contraintes commerciales et idéologiques», regrette le pape François dans un message envoyé au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon le 23 mai 2016, à l’occasion du premier somme …
Trois jours après fêté ses 89 ans et 11 ans jour pour jour après son élection, le pape émérite Benoît XVI a remercié, le 19 avril 2016, ceux qui lui avaient adressé leurs vœux.
Comment les 12 réfugiés ramenés à Rome par le pape ont-ils été sélectionnés? C’est la question que tout le monde se pose, après le geste spectaculaire du pape François, le 16 avril 2016, d’amener à Rome, à bord de l’avion papal, 12 réfugiés syriens b …
«Pardonnez la fermeture et l’indifférence de nos sociétés qui craignent le changement de vie et de mentalité que votre présence exige». Deux semaines après l’entrée en vigueur de l’accord UE-Turquie pour limiter l’arrivée de migrants en Europe, le pa …
«Le pape nous a vraiment sauvés». Nour est Syro-palestinienne et elle n’a de cesse de remercier le pape François qui, le 16 avril 2016 à Lesbos, en Grèce, l’a fait monter à bord de son avion pour Rome, avec son mari Hassan et leur fils Ryad, âgé de d …
Deux jours après le voyage très médiatisé du pape François à Lesbos, le cardinal Luis Antonio Tagle a assuré à Radio Vatican le 18 avril, que cette visite n’avait «rien à voir avec un agenda politique» ou «avec du prosélytisme.
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