«Le Samedi saint, c’est un vide». Un «jour mort» où se tisse l’espérance dans la logique de Dieu: «à l’envers du bon sens», sourit le Père François Huot.
Entre le Vendredi saint et le Dimanche de Pâques, l’ermitage de Longeborgne – comme toute l’Église – devient silencieux. Et c’est dans cette absence que la vie renaît.