Regula Pfeifer, kath.ch / traduction et adaptation: Raphaël Zbinden
«En tant que ministre des affaires sociales du canton de Zurich, je reconnais et apprécie les multiples prestations de nos Églises, qui répondent à des besoins sociaux et émotionnels», assure Mario Fehr dans une tribune de la NZZ (25 novembre 2024). «L’État ne peut pas assumer seul ces tâches. Je suis reconnaissant aux Églises de combler les lacunes existantes, de s’engager en faveur des plus faibles dans la société et d’offrir à tout moment cohésion et soutien (…)», assure le conseiller d’État indépendant.
«Les Églises sont des bâtisseurs de ponts, poursuit-il: leurs offres sont à bas seuil, inclusives, non orientées vers la performance et sans intérêts économiques. Quel bienfait! Je le ressens de manière personnelle: ma foi me donne du soutien et du souffle – au niveau individuel, mais aussi dans le quotidien de la politique.»
Mario Fehr se dit convaincu que les Églises et les communautés religieuses reconnues méritent le soutien financier de la société. «Elles valent chaque franc dépensé! Car elles sont là pour tous, pour les pauvres comme pour les riches, pour les jeunes comme pour les vieux, indépendamment des opinions politiques. Juste ici, au coin de la rue, chaque jour – au milieu de nous.» (cath.ch/kath/rp/rz)
Rédaction
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