De violents combats ont débuté samedi à Khartoum et dans d’autres régions du Soudan entre les forces armées régulières et paramilitaires. Deux généraux à l’origine du putsch de 2021 s’affrontent désormais, entraînant une nouvelle fois ce pays d’Afrique dans la violence.
«Je suis avec préoccupation les événements qui se déroulent au Soudan», a confié le pape François depuis la fenêtre du Palais apostolique du Vatican. «Je suis proche du peuple soudanais, déjà tant éprouvé, et je l’invite à prier pour que les armes soient déposées et que le dialogue prévale, pour reprendre ensemble le chemin de la paix et de la concorde», a-t-il ajouté.
Peu avant, il s’était attristé que les «guerres se poursuivent et continuent à semer la mort sous des formes effroyables». «Pleurons devant ces atrocités et prions pour leurs victimes, en demandant à Dieu que le monde ne connaisse plus la consternation de la mort violente par la main de l’homme, mais l’émerveillement de la vie qu’il donne et renouvelle par sa grâce!», avait-il plaidé. (cath,ch/imedia/hl/gr)
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