Devant eux, le pape a d’abord mis en avant l’une des vocations du mouvement fondé par l’Italienne Chiara Lubich durant la Seconde guerre mondiale: «le sens et le service de l’unité: unité dans l’Église, unité entre tous les croyants, unité dans le monde entier».
Puis il a rappelé que chaque évêque devait toujours être «au service du peuple de Dieu, afin qu’il soit édifié dans l’unité de la foi, de l’espérance et de la charité». Et d’insister: «pape, évêques, nous sommes au service non pas d’une unité extérieure, d’une «uniformité», non, mais du mystère de communion qu’est l’Église».
Pour le pontife argentin, l’unité ne peut donc pas être comprise comme la recherche de l’unanimité. «Ce n’est pas être d’accord à tout prix», a-t-il précisé. L’unité obéit selon lui à un critère fondamental: «le respect de la personne, le respect du visage de l’autre, surtout du pauvre, du petit, de l’exclu». (cath.ch/imedia/hl/bh)
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