Le jury a souhaité distinguer des thèses «caractérisées par leur apport novateur et leur contribution à la réflexion théologique et philosophique», peut-on lire dans le communiqué. A ainsi été honoré, le prêtre français Biasgiu Santu Virgitti, pour sa thèse en langue française sur «Le récit de Jonas dans la Liturgie latine», soutenue à l’Université pontificale Grégorienne.
Le prix de langue étrangère a été remis ex aequo à l’Argentine María Soledad Paladino pour sa thèse sur le thème: «Autonomie théonome et théonomie participative. Vers une compréhension de la juste autonomie morale à partir de Veritatis Splendor», soutenue à l’Université pontificale de la Sainte Croix et au prêtre italien Davide Lees, pour sa thèse: «Le péché dans la théologie d’Irénée de Lyon», soutenue à l’Université pontificale Grégorienne.
Par ailleurs, une mention spéciale a été remise à la religieuse togolaise Mamakatine Mary Lembo, pour sa thèse: «Relations pastorales matures et saines: Maturité affective et sexuelle pour une collaboration entre prêtres et femmes consacrées, témoignages pour le règne de Dieu», soutenue à l’Université pontificale Grégorienne.
Outre le cardinal Poupard, le jury est composé du Père Serge-Thomas Bonino, doyen de la faculté de philosophie de l’Angélicum et secrétaire de la commission théologique internationale, de Michela Tenace, professeur de théologie à l’Université pontificale grégorienne. Un jury que complète l’abbé Laurent Touze, professeur à la faculté de théologie de l’Université pontificale de la Sainte-Croix et d’Emmanuele Vimercati, doyen de la faculté de philosophie à l’Université pontificale du Latran. (cath.ch/imedia/ah/bh)
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