Dans cet entretien accordé à Vatican News, le cardinal Parolin rappelé la structure de la Secrétairerie d’État: Il n’existait que deux sections après la réforme de la Curie romaine voulue par Jean-Paul II. Le pape François a souhaité en ajouter une troisième en 2017: la section pour le Personnel diplomatique du Saint-Siège. Cet ajout a selon lui permis au pape de montrer «sa proximité avec le personnel».
La Secrétairerie d’État s’appuie également sur un réseau de 128 nonciatures apostoliques – représentant les 174 pays qui entretiennent des relations diplomatiques avec le Saint-Siège–, 12 délégations apostoliques auprès des Églises locales et 17 organisations internationales, explique le prélat.
Le «numéro 2» du Vatican détaille enfin les dépenses de cet organe pour l’année 2020. Elles se sont élevées à un total d’environ 23,8 millions d’euros, dont 20,1 millions de dépenses ordinaires et 3,7 millions de dépenses extraordinaires. Ces dernières ont notamment permis de suivre les travaux de construction d’un nouveau siège au Timor Oriental, précise-t-il. (cath.ch/imedia/cg/gr)
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