«De Birmanie, nous continuons à recevoir de tristes nouvelles d’affrontements sanglants, avec des pertes de vies humaines», a confié le pape François, faisant référence aux violentes répressions qui ont eu lieu ces derniers jours dans le pays asiatique. L’évêque de Rome a appelé la communauté internationale à s’engager «afin que les aspirations du peuple de Birmanie ne soient pas étouffées par la violence».
Le 266e pape a formulé le vœu «que les jeunes de cette terre bien-aimée se voient accorder l’espoir d’un avenir où la haine et l’injustice laissent place à la rencontre et à la réconciliation».
C’est la seconde fois que le pape exprime son inquiétude au sujet de la Birmanie: le 7 février, quelques jours après le coup d’État dans le pays asiatique, le pape François avait appelé à la libération « rapide » des responsables politiques arrêtés.
En outre, le 12 février, Mgr Ivan Jurkovič, observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations unies, avait invité les différentes parties prenantes en Birmanie à «mettre de côté tout ce qui fait obstacle à l’indispensable processus de dialogue». (cath.ch/imedia/cd/bh)
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