Les réactions nombreuses reçues de fidèles, y compris d’autres religions, nous poussent à demander que le droit soit dit, relève le communiqué de la CEF. Par ailleurs, un rendez-vous est prévu le 29 novembre avec le Premier ministre avec Mgr Éric de Moulins-Beaufort, Président de la CEF et une délégation. Ils espèrent «que ce rendez-vous sera enfin un vrai moment de concertation.»
Dans l’attente de l’aboutissement de ces deux démarches, les règles fixées par le Premier ministre sont en vigueur même si nous sommes tous conscients des grandes difficultés dans lesquelles ces décisions gouvernementales placent les fidèles.
«Puisse le recours au droit contribuer à apaiser les esprits. Il est clair pour nous tous que la messe ne peut pas devenir un lieu de combat et de revendication mais rester un lieu de paix et de communion,» conclut la CEF. (cath.ch/com/mp)
Maurice Page
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