« Par la façon dont nous traitons le corps de la femme, nous comprenons notre niveau d’humanité », a-t-il poursuivi. La pandémie de COVID-19 a des « conséquences désastreuses pour les victimes et les personnes rescapées de violences sexuelles liées aux conflits », alertent pour leur part les Nations Unies sur leur site à l’occasion de cette journée. La maladie a en effet « limité la possibilité pour les victimes et les personnes rescapées de dénoncer ces actes et elle a aussi aggravé les obstacles structurels, institutionnels et socioculturels aux signalements ».
La Journée pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflits a été instaurée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2015 afin de sensibiliser à la nécessité de mettre un terme aux violences sexuelles de ce type, de manifester de la solidarité envers les victimes et de rendre hommage à celles et ceux qui luttent en première ligne pour éliminer ces crimes. (cath.ch/imedia/cg/mp)
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