Pour face à la pire anxiété, le Seigneur offre aux fidèles un remède: avoir foi en lui, a estimé le pape. La libération face aux tourments réside dans la confiance en Dieu: «il s’agit ne pas nous appuyer sur nous-mêmes mais sur Lui.»
Le Christ évoque également une autre certitude consolante, a poursuivi le pape : au Ciel, il y a une place réservée pour chacun. Le chrétien ne vit pas sans but, sans destination : il est précieux et attendu. «Ne l’oublions pas : la demeure qui nous attend est le Paradis». Le chrétien est fait pour le Ciel, pour demeurer en communion avec le Seigneur pour toujours et dans la joie, sans plus de larmes, divisions et rancœurs. Il s’agit donc de demander au Seigneur la route, les indications menant au Paradis et de l’intégrer dans chacun de nos choix.
Certains chemins, comme celui de l’égoïsme, du pouvoir ou des mondanités ne nous y conduisent pas, a mis en garde le pontife. A l’inverse, il faut adopter la voie de l’humilié, du service des autres ou encore de la prière et choisir de faire du Christ le protagoniste de sa vie pour aller au Ciel. (cath.ch/imedia/cg/mp)
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