Le discernement de ces signes permettra au «ministre de la miséricorde» de donner le bon conseil, le mot juste ou une indication authentique du chemin à suivre. Au contraire, des paroles inattentives peuvent «bloquer, même pendant des années, une conscience qui peine à s’ouvrir à Dieu», avertit le cardinal. Les confesseurs doivent donc se faire les serviteurs «du seul amour» qui se donne sans cesse aux fidèles.
La «prudence dans le jugement» est une autre caractéristique indispensable, a souligné le pénitencier. Cette vertu permet au pénitent de ne pas se «décourager» dans son combat contre le péché. Cette attitude doit en outre s’accompagner d’un «trait de joie» car pour tous, ministres et pénitents, le sacrement de la réconciliation doit toujours être considéré comme une «fête de la foi». (cath.ch/imedia/pad/mp)
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