«Les enfants affamés» et les orphelins en particulier, «paient la note» et ceci constitue une «grande calamité», s’insurge le pape. Pour lui, le monde d’aujourd’hui ressemble à celui du Déluge universel, au cœur de la première lecture de ce jour (Gn 6, 5-8 ; 7, 1-5.10). Ce monde, a-t-il insisté, dans lequel les bombes sont lancées «comme des bonbons», n’est pas meilleur qu’à l’époque de Noé.
Face à ce constat, le pontife encourage les fidèles à demander la grâce «d’avoir un cœur qui ressemble au cœur de Dieu». Il faut ainsi se rapprocher du Christ dans «une relation de cœur à cœur» afin d’intercéder pour toutes ces «calamités», «fruits du diable qui veut détruire l’œuvre de Dieu». (cath.ch/imedia/cg/gr)
Grégory Roth
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