La volonté d’intégrer les résidents les plus vulnérables au cœur de la maison de retraite induit une charge de travail supplémentaire pour le personnel soignant. Mais surtout elle a rendu la maison de retraite plus paisible, selon son directeur, Philippe Genoud, qui atteste avoir diminué de moitié l’utilisation de psychotropes et d’antidépresseurs».
Initié par deux infirmières en psychogériatrie, Karine Perruchoud et Gwendoline Gaspoz, le projet s’articule autour de cinq piliers: l’éthique, la formation, la posture soignante, les accompagnements et la «maison» – un lieu pour vivre mais aussi pour mourir et où les proches sont accueillis. (cath.ch/pp)
Pierre Pistoletti
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