En août 2018, le pape François avait demandé d’inscrire dans le Catéchisme de l»«²Eglise catholique (CEC) que la peine de mort est une mesure «inadmissible»«³ car blessant «»³l’inviolabilité et la dignité de la personne». Près d»«²un mois plus tard, Mgr Gallagher s’est dit heureux «»³d’ajouter la voix du Saint-Siège à celle d’un nombre croissant d’Etats»«³ soutenant l’abolition de la peine de mort.
«»³L»«²abolition universelle de la peine de mort serait une réaffirmation courageuse de la conviction que l»«²humanité peut réussir à faire face au crime»«³, a déclaré le prélat britannique. Offrant au criminel une chance de se racheter, elle prouve le «»³refus de succomber au désespoir»«³ devant des actes mauvais.
Au cours du siècle dernier, a pointé le représentant du Saint-Siège, «»³le Saint-Siège a toujours cherché à abolir la peine de mort»«³ et sa position est devenue «»³plus claire»«³ ces dernières décennies. Surtout maintenant que des moyens autres que la peine de mort «»³suffisent à défendre»«³ des agresseurs et à protéger l’ordre public.
Mgr Gallagher participait à une session de l»«²Assemblée générale des Nations unies dédiée à la peine capitale. Il a en outre félicité les organisateurs de cette réunion, le HCDH – le Haut-Commissariat aux droits de l’homme – mais aussi la France, l»«²Italie, le Brésil, le Burkina Faso et la République démocratique du Timor oriental, pour la réunion intitulée «»²Assurer l’égalité d’accès à la justice pour tous»«². (cath.ch/imedia/pad/rz)
Raphaël Zbinden
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