«Il y a une prise de conscience croissante» de la gravité du problèmes des abus au sein de l’Eglise, a considéré le haut prélat. Si récemment beaucoup a été fait pour combattre ces abus, il faut toutefois faire bien plus à l’intérieur de l’Eglise.
Le cardinal québécois a en particulier cité la formation des prêtres. Pour lui, il faut la participation de plus de femmes dans la formation et le discernement des séminaristes afin de favoriser l’équilibre de l’affectivité. Le préfet de dicastère a également jugé nécessaire plus de prudence dans le choix des nouveaux évêques. Notamment au vu de la mauvaise administration des cas d’abus sexuels par certains évêques. (cath.ch/imedia/xln/mp)
Maurice Page
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