Le pontife s’est arrêté sur l’évangile du jour de saint Marc (Mc 5, 21-43) relatant deux miracles opérés par le Christ, «marche triomphale vers la vie». Dans les deux cas, la guérison de la femme qui souffre d’hémorragie et de la fille de Jaïre, a-t-il souligné, prend son origine dans la foi.
Le Seigneur est «source de vie» et porte «l’infinie miséricorde du Père». Pour avoir accès au cœur de Jésus, a affirmé le pontife, il faut ressentir le besoin d’être guéri et «avoir confiance en Lui». C’est la «seule exigence», selon le pape François, et c’est pourquoi «il n’y a aucune raison de désespérer».
Comme le Christ, que les chrétiens doivent imiter, a expliqué le successeur de Pierre, il faut avoir des «mots qui libèrent». Ainsi que des regards qui rendent le désir de vivre à ceux qui n’en ont pas. Mais il faut craindre le «cœur momifié», c’est-à-dire que son propre cœur s’endurcisse. Personne ne devrait se sentir comme un intrus sur le chemin du Seigneur, a-t-il encore déclaré. (cath.ch/imedia/pad/rz)
Raphaël Zbinden
Portail catholique suisse
https://www.cath.ch/newsf/le-chretien-doit-placer-son-esperance-dans-le-seigneur-qui-redonne-la-vie/