L»«²uniatisme, entendu comme la méthode de ralliement de chrétiens à Rome, «ne fonctionne plus», a soutenu le pontife. S»«²il faut respecter les Eglise uniates existantes, «»³l»«²uniatisme ne convient plus aujourd»«²hui comme chemin d»«²unit黫³, a-t-il insisté.
«»³Marchons»«³ ensemble, a ainsi affirmé François, puisque «»³l»«²Å“cuménisme se fait en marchant»«³. L»«²unité est «»³l»«²unique voie»«³ sûre à emprunter car «»³la route de la division nous conduit aux guerres et aux destructions. Or, l»«²Eglise catholique ne permettra jamais que naisse en son sein une attitude de division»«³.
Certains pensent qu’il faut d’abord s’accorder sur la doctrine et «sur tous les points de division» avant de cheminer ensemble, a déploré l’évêque de Rome. Mais ce n’est pas juste, a-t-il averti, «car on ne sait pas quand arrivera l’accord». S»«²il faut «»³continuer à étudier la théologie»«³ et «»³clarifier les points»«³, catholiques et orthodoxes doivent marcher ensemble «»³dans l’amour, dans la prière»«³ et le dialogue.
Dans des extraits déjà dévoilés, le pape François avait souligné que les catholiques n»«²avaient pas à «»³se mêler»«³ des affaires internes au Patriarcat de Moscou. Une allusion probable à l»«²Ukraine où certains plaident pour une séparation de l»«²Eglise orthodoxe vis-à -vis du Patriarcat. L»«²archevêque majeur de l’Eglise grecque-catholique ukrainienne, Mgr Sviatoslav Shevchuk, avait semblé soutenir cette démarche. (cath.ch/imedia/pad/pp)
Pierre Pistoletti
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