Evoquant les expérimentations sur des embryons humains et l’avortement d’enfants à naître malades, le Souverain pontife a eu des propos particulièrement forts, les comparant aux pratiques du docteur nazi Josef Mengele et aux Spartes qui jetaient les nourrissons faibles du haut d’une montagne. «Nous faisons pareil aujourd’hui (…) mais dans les laboratoires et les cliniques», a-t-il dénoncé.
Selon un article de Vatican News en italien du 22 mai, le pape a ensuite modéré ses propos: «quand je parle de ces choses, je m’échauffe trop et je perds le sens de la diplomatie».
Dire que toute vie doit être respectée semble être un «langage de martien», a reconnu le successeur de Pierre, mais il faut le faire «atterrir» dans la culture du déchet ambiante. «Lutter pour la vie est lutter pour une culture où toute vie est respectée», a-t-il ajouté, encourageant en ce sens ‘One of Us’ – un de nous, en anglais.
Cette fédération d’associations européennes puise ses «profondes racines» dans les «valeurs chrétiennes commune», précise son site internet. Elle regroupe des entités engagées dans la protection de la vie, de sa conception à sa fin naturelle, comme la fondation française Jérôme Lejeune. Créée en en 2013, cette fédération agit au niveau de l’Union européenne. (cath.ch/imedia/xln/gr)
Grégory Roth
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