Le changement d’époque que nous vivons suppose sagesse et discernement, a indiqué le pape, si l’on veut un futur de paix pour les générations à venir. Cela commande aussi une réponse efficace aux défis radicaux d’aujourd’hui, par un esprit renouvelé de solidarité, notamment envers ceux qui souffrent.
De manière générale, le travail patient de la diplomatie internationale se fonde sur la conviction partagée de l’unité de la famille humaine, a soutenu le pontife, ainsi que sur la dignité intrinsèque de chacun.
C’est pourquoi l’Eglise est convaincue que le but de l’activité diplomatique doit être le développement intégral de chaque personne. Le souverain pontife a insisté en outre sur la nécessité d’accueillir et de protéger ceux qui fuient la guerre, la famine, les persécutions ou le changement climatique.
Les nouveaux ambassadeurs près le Saint-Siège sont issus de Tanzanie, du Lesotho, du Pakistan, de Mongolie, du Danemark, d’Ethiopie et de Finlande.(cath.ch/imedia/ap/mp)
Maurice Page
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