Un phénomène accentué selon Gustavo Entrala par le système des réseaux sociaux et des smartphones. L’apparition en particulier des iPhones en 2007, a-t-il expliqué, a provoqué la disparition d’articles d’analyse au bénéfice de nouvelles courtes, plus propices à la lecture sur petit écran.
L’expert espagnol en stratégie marketing a également affirmé que si le pape n’envoie pas lui-même ses messages sur internet, il les «approuve néanmoins tous personnellement».
En 2012, Gustavo Entrala avait aidé le pape Benoît XVI à envoyer son premier tweet. Déclinés en neuf langues, les comptes du pape rassemblent 47 millions d’abonnés. (cath.ch/imedia/ah/bh)
Bernard Hallet
Portail catholique suisse