La corruption est un scandale aux dimensions «envahissantes», a regretté le cardinal français dans un communiqué diffusé par le Bureau de presse du Saint-Siège. Selon le haut prélat, les enseignements et la pratique bouddhiste non seulement désapprouvent la corruption, mais cherchent également à «transformer l’état d’esprit malsain, les intentions, les habitudes et les actions de ceux qui sont corrompus».
C’est pourquoi il a appelé à un front commun des religions, à la suite du pape François, qui considère la corruption comme un péché dont les pauvres paient le prix. «La seule route à suivre pour sortir de la corruption (…) est le service, avait affirmé le pontife en 2014. «Parce que la corruption vient de l’orgueil, de la superbe, et parce que le service est humilité».
Au cours de la fête de Vesakh, les bouddhistes commémorent traditionnellement les événements les plus importants de la vie de Siddhārtha Gautama, dit le ‘Bouddha’, ascète considéré comme le fondateur d’une religion naturelle – une école de pensée – au 6e siècle avant Jésus-Christ. (cath.ch/imedia/ap/pp)
Pierre Pistoletti
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