L»«²Eglise permet «»³de comprendre réellement comment les migrants peuvent être aidés»«³, a déclaré le prélat.»«³Avec toute son expérience en humanit黫³, l’Eglise a toujours été présente, avec un engagement constant dans la question des migrations, a expliqué Mgr Auza. Dans l»«²Ã©bauche du Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière actuellement négociée aux Nations unies plusieurs des principes soutenus par le Saint-Siège sont repris.
En particulier autour des vingt points d’action définis par la Section migrants et réfugiés du Dicastère pour le service du développement humain intégral, a-t-il précisé. Ces points avaient été repris par le pape François dans son message pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié 2018, publié le 21 août 2017. Ceux-ci s’articulent autour de quatre verbes: accueillir, protéger, promouvoir et intégrer.
Pour Mgr Auza, il reste cependant le défi d»«²inclure véritablement ces lignes dans le texte final, d’autant que le Saint-Siège n’est qu’observateur aux Nations unies. Il faudra donc «»³négocier point par point»«³ pour inclure ces principes, a-t-il ajouté. Débattu depuis un an, le Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière devrait être adopté en décembre prochain. Les négociations quant à elles devraient s’achever en juillet. (cath.ch/imedia/pad/xln/bh)
Bernard Hallet
Portail catholique suisse