Selon le cardinal, le message du pape François du 16 novembre dernier à un congrès de médecin se penchant sur cette question n’a rien fait d’autre que répéter la position de l’Eglise, de ce double-refus. Pour l’épiscopat italien, le projet de loi actuellement étudié ouvre la porte à l’euthanasie, par le biais notamment de directives anticipées du patient, qui s’imposeraient aux médecins sans objection de conscience possible.
Approuvée en avril dernier par la Chambre des députés, cette loi est désormais à l’étude au Sénat. Elle pourrait être une des dernières lois de la législature actuelle, dont le mandat doit s’achever avant le 20 mai 2018.
Par ailleurs, le cardinal Parolin a réagi à la décision du président américain Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Il a rappelé l’appel du pape François à la sagesse et à la prudence, lancé à la fin de l’audience générale du 6 décembre. Cette décision, a estimé le haut prélat, complique beaucoup les choses. (cath.ch/imedia/xln/mp)
Maurice Page
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