Cours 3, vidéo, 19 mn.
Tolérer le mélange de l’ivraie et du bon grain jusqu’à l’étape finale, la moisson? Une invitation à accepter la réalité présente et ses complexités.
24 Il (Jésus) leur proposa une autre parabole: «Le Royaume des cieux est semblable à un homme (un humain) semant une bonne semence dans son champ.
25 Pendant que les hommes dormaient, vint son ennemi et il sema de l’ivraie au milieu du blé et s’en alla.
26 Quand l’herbe eut poussé et fait du fruit, alors apparut aussi l’ivraie.
27 Les serviteurs du maître de maison s’approchant lui dirent:›Maître, n’est-ce pas de la bonne semence que tu as semée dans ton champ? Comment donc y a-t-il de l’ivraie?›
28 Il leur dit:›un ennemi a fait cela›.
Les serviteurs lui dirent:’Veux-tu donc que nous allions la ramasser?›
29 Il déclara: ›Non, de peur qu’en ramassant l’ivraie vous ne déraciniez en même temps le blé.
30 Laissez les deux croître ensemble jusqu’à la moisson et au temps de la moisson je dirai aux moissonneurs: ›ramassez d’abord l’ivraie et liez-la en bottes pour la brûler, mais le blé recueillez-le dans mon grenier’.»
Annexes
Vous pouvez poster ici vos réactions ou vos questions concernant le cours. La rédaction de cath.ch en publiera quelques-unes auxquelles Marie-Christine Varone donnera suite.