La Chambre criminelle a infirmé une décision de première instance qui avait estimé que les preuves n’étaient pas suffisantes pour prononcer une détention provisoire. Mais le procureur a fait appel estimant crédibles les déclarations d’une des victimes en particulier détaillant les circonstances dans lesquelles le prêtre l’avait abusée. Le prêtre aurait profité de son statut de professeur et de directeur spirituel des mineurs pour s’infiltrer dans leurs chambres et les agresser sexuellement.
L’affaire a éclaté lorsque l’une des victimes s’est confiée à l’un des autres prêtres du petit séminaire qui a informé ses supérieurs qui, à leur tour, ont signalé l’affaire à la police. (cath.ch/acip/mp)
Maurice Page
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