Il faut promouvoir le respect de la dignité des anciens, a exhorté Mgr Auza. Car selon lui, si leur nombre a fortement augmenté ces dernières années, nos sociétés ne se sont pas suffisamment organisées pour leur offrir le respect qu’ils méritent et une considération concrète de leur fragilité et de leur dignité.
Les personnes âgées, a-t-il poursuivi, sont plus vulnérables face à la pauvreté, l’isolement et la santé. Mais elles sont également les premières victimes des conflits, des catastrophes naturelles et des crises financières. Dans le même temps, elles sont trop souvent exclues de la participation active à la société.
Il devient donc indispensable, a insisté Mgr Auza, de promouvoir des politiques et des pratiques qui renforcent l’intégration des personnes âgées dans les processus décisionnels. Le prélat a aussi pointé la nécessité de leur assurer une retraite adéquate et l’accès à une formation permanente. (cath.ch/imedia/ah/rz)
Raphaël Zbinden
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