«Patrimoine commun de l’humanité», les océans représentent 70% de la superficie de la terre, a rappelé le cardinal ghanéen. «Mais ils sont aussi un don, et il faut reconnaître que nous n’[en] sommes pas les auteurs».
Il s’agit de «ne pas perdre le sens de ce don au nom du profit et des intérêts économiques, mais de cultiver la gratitude pour l’héritage reçu et de le léguer à ceux qui peupleront l’avenir». Les Nations unies, a également rappelé le cardinal Turkson, préparent un nouvel instrument juridique pour préserver la biodiversité marine.
Cette conférence était organisée à l’Université pontificale de la Sainte-Croix à Rome, en collaboration avec les ambassades de France, de Monaco et des Pays-Bas près le Saint-Siège. L’Union européenne devrait aussi promouvoir une conférence internationale en octobre. (cath.ch/imedia/ap/pp)
Pierre Pistoletti
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