L’espérance se produit quand il n’y a plus rien à espérer», a expliqué le pontife. A l’exemple d’Abraham, proche de la mort et confronté à la stérilité de sa femme, et qui devint pourtant le père d’un grand nombre de peuples. Abraham est notre père dans la foi et aussi dans l’espérance, a-t-il précisé.Il s’agit ainsi d’une espérance, qui d’un point de vue humain semble incertaine et imprévisible, mais qui ne manque pas même face à la mort. Car Dieu est celui de la résurrection et la vie.
Pour cela, l’unique prix à payer est d’avoir le cœur ouvert. A l’approche de Pâques, le pontife a donc appelé à être des vrais fils d’Abraham, qui se fient non sur leurs sécurités et leurs capacités, mais sur l’espérance de la promesse de Dieu, qui nous arrache au désespoir et à la mort.
Parmi les fidèles présents sur la place Saint-Pierre, se trouvaient de nombreux établissements catholiques français, d’Aix-en-Provence, Paris, Neuilly, Rueil-Malmaison, Luçon, Toulouse. Ainsi que l’Association des paralysés de France et la Communauté de la Source, dans le diocèse de Vannes. (cath.ch/imedia/mp)
Maurice Page
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