«Si nous pouvons nous approcher de Jésus, c’est parce qu’il s’est approché avant. Il fait toujours le premier pas», a expliqué le pape François. Il attend. Il nous parle. Il est toujours là. Il ne nous abandonne jamais. Dans les bons moments, quand nous jouons, quand nous sommes heureux, il est avec nous. Et dans les mauvais moments de la vie, il nous console.
«Ce qui m’épouvante, ce sont les personnes méchantes, la méchanceté des gens. (…) Car une personne méchante peut faire tant de mal, a poursuivi le pape. Je suis épouvanté quand dans une famille, un quartier, un lieu de travail, une paroisse, et même au Vatican, il y a des commérages. (…)
Vous avez entendu ou vu à la télévision ce que font les terroristes ? Ils jettent une bombe et ils s›enfuient. (…) Les commérages sont ainsi: cela revient à jeter une bombe et s’en aller. Et les commérages détruisent, mais surtout détruisent ton cœur. Parce que si ton cœur est capable de jeter une bombe, tu es un terroriste, tu fais le mal en secret et ton cœur devient corrompu. (cath.ch/imedia/mp)
Maurice Page
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