«Nous, les Argentins, écrit-il, utilisons une expression pour parler d’une personne non-scrupuleuse: celle-ci est capable de vendre sa propre mère. Mais nous savons profondément que nous ne pouvons la vendre… tout comme la Mère patrie». Le pape argentin souhaite alors que le Seigneur guide la Mère patrie et la défende de tout type de colonisation. Se disant particulièrement proche de ceux qui souffrent le plus, pauvres, prisonniers, chômeurs, jeunes en proie à la drogue, le pape évoque aussi les personnes âgées et demande que «dépassant cette culture du déchet (…) nous ayons le courage de rêver». Enfin, il exhorte les jeunes à ne pas mettre en retrait leur existence dans un immobilisme bureaucratique. (cath.ch-apic/imedia/mp)
Maurice Page
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