Les chrétiens immobiles, a-t-il assuré dans son homélie, «ne font pas de mal, mais ils ne font pas de bien». Le pontife argentin a aussi critiqué les chrétiens obstinés qui n’écoutent pas la voix du Seigneur et les chrétiens qui marchent, mais ne savent pas où ils vont. Ces chrétiens vagabonds sont comme dans un labyrinthe dont ils ne savent pas sortir car ils ont perdu la boussole qu’est l’appel de Jésus. (cath.ch-apic/imedia/mp)
Maurice Page
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