Le représentant du Vatican a particulièrement demandé de ne pas considérer comme »prioritaire» le «profit offert par des médicaments et des instruments de diagnostic», qui aurait pour conséquence des «prix prohibitifs pour les malades n’ayant pas les moyens». Selon l’Onusida, seulement 15 des 37 millions de personnes infectées par le VIH reçoivent un traitement antirétroviral. Citant le pape François, Mgr Gyhra a ajouté que certaines thématiques de santé demandaient «une attention politique prioritaire, au-dessus de tout intérêt commercial ou politique». (cath.ch-apic/imedia/mp)
Maurice Page
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