Un désir vorace, infatigable, boulimique de connaître, lire, approfondir». Pour conclure son hommage, la journaliste Silvia Guidi, n’hésitant pas aussi à pointer quelques récits «ennuyants», s’est souvenue de ces mots de l’universitaire italien: «si un jour j’arrive au paradis et que je peux rencontrer Dieu, j’ai deux possibilités. Si c’est celle vindicative de l’Ancien Testament, je lui tourne le dos et je m’en vais en enfer. Si au contraire c’est celle du Nouveau Testament, alors nous avons lu les mêmes livres et nous parlons la même langue. On se comprendra». (cath.ch-apic/imedia/bl/pp)
Pierre Pistoletti
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