Elle salue alors l’exemple de la France, tandis «qu’en Italie, les problèmes bioéthiques relatifs à la GPA sont toujours abordés avec l’opposition habituelle et stérile entre laïcs et catholiques – en général présentés par les médias comme respectivement progressistes et conservateurs». En France, «c’est la première fois que la gauche ose s’opposer aux lobbys progressistes, se félicite-t-elle, sans avoir peur d’être associée aux groupes jugés conservateurs» qui ont aussi dénoncé «l’horreur de cette pratique». (cath.ch-apic/imedia/ak/bl/rz)
Raphaël Zbinden
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