«Aucun meilleur modèle n’est disponible pour le moment», a estimé le prélat australien. Citant la femme d’Etat britannique Margaret Thatcher, le cardinal a fait observer que si le Bon Samaritain avait été dépourvu de capital il n’aurait pas pu subvenir aux besoins de son hôte.
Si les critiques du pape François vis-à-vis de l’argent sont connues, «ce qui n’est pas très connu est que le pape François lui-même (…) a fait des références spécifiques et favorables au rôle de l’entreprise», a-t-il assuré, une «noble vocation», notamment dans l’Encyclique Laudato si’. Cependant, a mis en garde le cardinal Pell, c’est «l’avidité» qui «n’est pas bonne». (cath.ch-apic/imedia/be)
Jacques Berset
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