A l’école du théologien et philosophe allemand, le pape a soutenu qu’il serait alors probablement possible de «reconnaître que Dieu, dans sa sagesse, nous a envoyé, dans la riche Europe, l’affamé afin que nous lui donnions à manger, l’assoiffé afin que lui donnions à boire, l’étranger afin que nous l’accueillions, et celui qui est nu afin que nous l’habillions». «L’histoire le montrera, a conclu le pape : si nous sommes un peuple alors nous l’accueillerons certainement comme un frère ; si nous sommes seulement un groupe d’individus, nous serons tentés de sauver surtout notre peau, mais il n’y aura pas de continuité». (apic/imedia/bh)
Bernard Hallet
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