La session inaugurale, en présence du cardinal Peter Turkson, président du dicastère, devait se conclure avec la remise symbolique de «l’héritage de Gaudium et spes à une représentation de jeunes issus de divers continents», est-il expliqué dans un communiqué. La constitution Gaudium et spes était consacrée aux rapports entre l’Eglise et le monde contemporain. Promulguée le 7 décembre 1965, dernier jour du Concile Vatican II, malgré de nombreuses réserves, elle proposa de façon inédite que l’Eglise s’adresse autant aux chrétiens qu’à l’ensemble du «peuple de Dieu». Deux questions furent particulièrement débattues: la question des armes nucléaires, et celle de la contraception. (apic/imedia/ak/bl/rz)
Raphaël Zbinden
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