Lors d’une conférence de presse rapportée le 23 septembre 2015 par le journal britannique Catholic Herald, le prélat a estimé que la solution ne pouvait être «générale» mais seulement au cas par cas. Car «les personnes divorcées ne sont pas une catégorie mais des personnes en pèlerinage». «Quelle est la grâce qui reste dans la vie d’une personne après un mariage valide brisé?», s’est-il demandé. Avant de répondre: «Ce pourrait bien être la grâce de la conversion, un nouveau regard sur ce qui est arrivé» sous la miséricorde de Dieu. Mgr Nichols représentera l’Eglise anglaise et galloise au synode sur la famille, qui débutera le 4 octobre. (apic/imedia/ak/rz)
Raphaël Zbinden
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