«Il faut donc raisonner avec amour, avec sensibilité, a repris l’archevêque de Budapest et rapporteur général du Synode sur la famille, et avec la responsabilité de l’unité de l’Eglise (…) Ces questions doivent être abordées avec un grand sens de la fidélité à la tradition et une grande sensibilité aux possibilités qui demeurent dans l’héritage théologique et institutionnel».
Interrogé sur l’écart entre la doctrine et la réalité de certaines situations familiales que les questionnaires européens ont mis en avant, le cardinal a assuré que «le problème pastoral» existait et méritait «une attention très délicate». Cependant, a-t-il insisté, il faut tenir compte du raisonnement théologique, et de l’enseignement de Jésus de Nazareth. (apic/imedia/bl/rz)
Raphaël Zbinden
Portail catholique suisse