On ne connaît toujours pas l’ampleur exacte de la catastrophe et l’on peut craindre que le bilan du nombre de victimes ne fasse que s’alourdir, avertit Caritas dans un communiqué.
L’épicentre du séisme s’est situé entre la capitale Katmandou et la ville de Pokhara. Le directeur de Caritas Népal, Pius Perumana rapporte: «C’est le pire tremblement de terre que j’aie vécu de ma vie. Il y a encore de violentes répliques. Tout porte à croire qu’il s’agit d’une catastrophe de grande ampleur.»
Le directeur de Caritas Népal dit que les dégâts matériels sont énormes. Le courant électrique est coupé, les communications très difficiles et les routes bloquées. «Beaucoup de maisons sont détruites ou très endommagées. Dieu merci, le tremblement de terre a eu lieu dans la journée et le samedi est un jour où les gens ne travaillent pas. Beaucoup de gens étaient dehors».
Caritas Népal s’organise pour apporter son aide. Ses équipes sont engagées dans l’aide de sauvetage et des premiers secours. Elles organisent des abris de fortune pour les très nombreuses personnes qui se retrouvent sans toit. Car des dizaines de milliers de personnes ont perdu leur maison ou leur logement et se trouvent à la rue. Caritas Népal a également commencé à distribuer des denrées alimentaires et des biens de première nécessité.
Dons sur le compte 60-7000-4, mention «Népal». Site internet
(apic/com/rz)
Raphaël Zbinden
Portail catholique suisse
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