Il y a un an, le millionnaire philanthrope Andrej Kiska avait remporté haut la main les élections présidentielles, contre le premier ministre de centre gauche Robert Fitso. Durant la campagne, ses opposants avaient dit de lui qu’il était un mauvais chrétien, proche de l’Eglise de scientologie.
Le 10 avril, c’est un autre néophyte en politique, le président géorgien Giorgi Margvelashvili, qui sera reçu au Vatican. Cet ancien professeur de philosophie avait battu le président sortant controversé Mikheïl Saakachvili en octobre 2013. Après le conflit russo-géorgien d’août 2008, le chef d’Etat de cette petite république du Caucase promeut une ligne pro-atlantiste et pro-européenne. (apic/imedia/ami/bl/rz)
Raphaël Zbinden
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