«Nous avons été extrêmement indignés par leur décision. Dans cette situation, la Pologne n’est que le territoire sur lequel le camp de concentration d’Auschwitz était situé. En ce sens, elle n’est pas autorisée à décider qui devrait être invité à un événement aussi important que le 70e anniversaire de la libération de ce camp», a déclaré le 23 janvier 2015 Alexandre Boroda à l’agence russe Interfax-Religion.
Le refus de Varsovie d’inviter «le président du pays qui est le successeur juridique et historique de l’Union soviétique, le pays dont les troupes joué un rôle décisif dans la Grande Victoire, n’est pas seulement une tentative de réécrire l’histoire, mais une insulte à la mémoire des soldats qui ont libéré Auschwitz. C’est même une exonération du fascisme dans une certaine mesure», a conclu Alexandre Boroda.(apic/interfax/mp)
Maurice Page
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