Pour René Girard, ce qui nous est offert dans la Passion, c'est la possibilité de construire une nouvelle forme d’unité, totalement libérés de la violence. La crucifixion de Jésus, par le peintre Matthias Grünewald, retable d'Issenheim (1512-1516) | © domaine public
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Vendredi Saint, don du sang à la cathédrale de Montréal

Montréal, 17 mars 2015 (Apic) «Donner du sang, c’est donner la vie!» C’est ainsi que l’Eglise catholique à Montréal invite les fidèles à participer à la traditionnelle Collecte de sang du Vendredi Saint de Héma-Québec, l’organisme chargé de récolter le sang dans la province canadienne. Le don du sang est organisé le 3 avril prochain à la cathédrale Marie-Reine-du-Monde, sous la présidence d’honneur de Mgr Christian Lépine, archevêque de Montréal.

Mgr Lépine sera présent pour accueillir les donateurs. L’Eglise à Montréal souligne que le don du sang est «un geste solidaire et d’une profonde générosité à poser pour venir en aide aux malades». Comme il n’existe aucun substitut au sang humain, et ce malgré l’avancée de la science, le maintien de la réserve collective de sang de la province à un niveau suffisant repose entièrement sur l’entraide dont fait preuve la population.

1’000 dons de sang sont nécessaires chaque jour

«Prendre une heure de son temps pour donner du sang fait toute la différence pour les quelque 80’000 receveurs de produits sanguins chaque année», note l’archidiocèse de Montréal. Héma-Québec a pour mission de répondre aux besoins de la population québécoise en sang et ses dérivés.

L’Eglise de Montréal rappelle qu’au moins 1’000 dons de sang sont nécessaires chaque jour pour répondre aux besoins des hôpitaux de la province. «Au Québec, toutes les 80 secondes une personne a besoin de sang. Seulement 3 % des Québécois admissibles au don de sang contribuent à la réserve collective. On peut donner du sang tous les 56 jours, soit six fois par année!» (apic/com/be)

 

Pour René Girard, ce qui nous est offert dans la Passion, c'est la possibilité de construire une nouvelle forme d’unité, totalement libérés de la violence. La crucifixion de Jésus, par le peintre Matthias Grünewald, retable d'Issenheim (1512-1516) | © domaine public
17 mars 2015 | 08:56
par Jacques Berset
Temps de lecture : env. 1  min.
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