Le Vaudois Claude Ruey réélu à la présidence de l’Entraide Protestante
Lausanne, 04.11.2015 (cath.ch-apic) Le Vaudois Claude Ruey a été réélu pour un nouveau mandat de quatre ans en tant que président du Conseil de fondation de l’Entraide Protestante Suisse (EPER). L’avocat, ancien conseiller national libéral et ancien conseiller d’Etat, est membre du Conseil de fondation de l’EPER depuis 2002 et le préside depuis 2008.
Trois autres membres du Conseil de fondation de l’EPER ont également été réélus par la Fédération des Eglises protestantes de Suisse (FEPS), lors de son Assemblée des délégués du 2 et 3 novembre.
Confirmés dans leur fonction pour la période 2016-2019
La FEPS les a confirmés dans leur fonction pour la période allant de 2016 à 2019, annonce le secrétariat romand de l’EPER à Lausanne. Le Conseil de fondation regroupe actuellement neuf personnes.
La vice-présidente de l’EPER et membre du Conseil de fondation Doris Amsler-Thalmann a également été réélue pour quatre ans. Professeure à l’école ménagère et présidente du Conseil de la paroisse générale de Bienne, elle siège au Conseil de fondation de l’EPER depuis 2002.
Deux autres membres du Conseil de fondation, Verena Nold Rebetez et Fritz Schneider, ont aussi été reconduits dans leur fonction. Directrice de Santésuisse, Verena Nold Rebetez a rejoint le Conseil de fondation de l’EPER en 2003. Fritz Schneider dirige quant à lui le département d’Agronomie de la Haute école des sciences agronomiques, forestières et alimentaires, HES bernoise, et fait partie du Conseil de fondation de l’EPER depuis 2011. JB
Encadré
L’EPER combat les injustices et la misère sociale
L’EPER est l’œuvre d’entraide de la Fédération des Eglises protestantes de Suisse (FEPS). Son siège social se trouve à Zurich, avec un secrétariat opérationnel pour la Suisse romande à Lausanne. Sa dénomination allemande est HEKS (Hilfswerk der Evangelischen Kirchen Schweiz). L’EPER a été fondée en 1946 par la FEPS. Elle est devenue une fondation en 2004. L’EPER apporte une aide d’urgence et de survie, et combat les causes de la famine, des injustices et de la misère sociale. «Tous les êtres humains devraient pouvoir mener une vie digne et sûre du point de vue social, économique et politique», affirme l’œuvre d’entraide de la FEPS, qui s’engage dans plus de 200 projets en Suisse et à l’étranger. (apic/eper/com/be)