Pascal Fessard

Lutter contre le cancer: quelques pistes d’action et de prévention

Lorsque les médecins annoncent la nouvelle d’une maladie cancéreuse, le désormais malade va comprendre le sens du mot « patient ». La médecine conventionnelle va tout prendre en charge, du diagnostic au traitement, en passant par des pronostics de survie, comme si elle se battait seule contre la maladie, laissant au malade le soin de profiter des bons moments tout en demeurant patient. Pourtant il n’y a pas rien à faire, bien au contraire.

Mon propos s’adresse à celles et ceux qui doivent lutter, qui veulent lutter activement, il s’adresse au fond à tout le monde, car même si la maladie est opérable et peu développée, que la médecine promet une rémission d’une maladie prise à temps, il s’agit d’inverser un processus qui a conduit au cancer. Avec ce type de maladies, l’on peut mourir de presque rien et survivre parfois longtemps avec des masses effrayantes.

L’oncologie conventionnelle et les autres médecines

On parle ici de l’oncologie classique, des traitements durs qui lui ont forgé une terrible image de médecine dangereuse, tuant soit la maladie, soit le patient, si bien que certaines personnes préfèrent gérer leur cancer sans recourir à elle. Cette science a pourtant beaucoup progressé, diagnostiquant de mieux en mieux, au point que l’on ne parle plus du cancer comme d’une seule maladie, mais comme des centaines de maux différents, nécessitant des traitements différents. De plus, grâce aux scintigraphies (PET-CT), à la mesure de l’indice SUV, c’est-à-dire la consommation en sucre des cellules dégénérées, indiquant leur appétit et donc leur agressivité, l’oncologue ne s’évertue pas dans des traitements inefficaces voire contre-indiqués, il corrige le tir, permettant progressivement de mieux cibler la thérapie. Il paraît sage de considérer la médecine conventionnelle comme une alliée de poids qu’il serait dommage de ne pas requérir. Faut-il pour autant lui abandonner notre survie ?

Chaque jour le combat recommence, et chaque geste contribue à se relever, à survivre, à vivre, avec joie.

L’oncologie c’est l’artillerie des guerres napoléoniennes, on ne peut s’en passer, mais il serait fou de ne vouloir combattre qu’avec elle. Contre le cancer, il faut mobiliser de l’infanterie et de la guérilla, attaquer dans les moindres recoins, sans cesse, en infériorité, mal équipé, fatigué, mais ce harcèlement de tous les instants doit imposer à la maladie un nouvel ordre : elle n’est pas chez elle, elle n’est pas en terrain conquis. Et n’oublions pas l’effort logistique, à savoir l’acheminement de tout ce que le corps nécessite pour vivre d’abord et pour lutter ensuite. Il existe d’autres médecines capables de nous apporter une aide quotidienne et salutaire.

Je vous propose un entretien avec le Dr Kiener pour vous donner une idée sérieuse du type de combat et des possibilités offertes. Le malade ne manque cependant jamais d’opportunités en tout genre. Son entourage plus ou moins proche va rapidement lui proposer des contacts et des recettes plus ou moins magiques. Un tel coupe le feu, tel autre ressent les énergies, celui-ci est chaman, cette poudre guérit, c’est incroyable comme nous nous soignons avec de tout et les mises en garde du Père Verlinde résonnent à nos oreilles. Il ne faudrait pourtant pas imaginer que le salut ne passe que par la médecine conventionnelle.

 

En guise de résumé, quelques moyens de lutte contre le cancer

Il s’agit d’une proposition de menu pour contribuer à inverser le processus cancer. Se sentir actif et volontaire contre la maladie aide énormément à triompher du quotidien, car, comme Sisyphe, même si la nuit nous a été clémente, chaque jour le combat recommence, et chaque geste contribue à se relever, à survivre, à vivre, avec joie.
1. Pas de sucre, pas de miel, pas d’aliments avec des sucres ajoutés, pas de fruits, sinon un peu de jus de citron pour les vitamines.
2. Au moins réfléchir à la prise des traitements Beljanski: Pao V FM, Rovol V, Ginko V, et si besoin le Real Build.

3. Supprimer le lait de vache et ses dérivés, le remplacer par du lait de brebis ou de chèvre. Malgré tout le beurre peut convenir.

4.  L’élixir de grenade totum à prendre 1 cuillère à soupe par jour, par exemple au petit-déjeuner. L’élixir se trouve en magasin bio. Privilégier l’élixir plutôt que les jus de grenades, ces derniers ne sont pas assez concentrés.
Sur ce sujet, à voir la vidéo du Professeur Joyeux.

https://youtu.be/NHVKrkwb1NM
5. Très efficaces et utiles aussi, les poudres de mycélium de champignons, à saupoudrer sur les plats. Le Dr Donatini propose d’excellents produits, contactez foret-nature@orange.fr, pour en disposer.

6. Boire du thé vert d’excellente qualité; par exemple le thé vert matcha.

7. Consommer régulièrement du curcuma à saupoudrer sur les plats, poivrer un petit peu pour un meilleur effet.
8. Ajouter des huiles «oméga-3» sur les plats: huile de lin et huile de cameline.
9. David Servan-Schreiber a écrit un petit livret de bons conseils alimentaires.

Ensuite s’entourer de thérapeutes non-conventionnels pour aider à récupérer ses énergies:

1. Acupuncture – c’est excellent. 1 fois par mois.
2. Naturopathie, travail avec les énergies. Par exemple, 1 fois par semaine, pour tenir autant moralement que psychiquement dans les moments difficiles.
3. Homéopathie pour nettoyer le foie et les reins, et soulager tout ce qui est possible.
4. La moxibustion pratiquée à proximité des tumeurs a un effet vraiment impressionnant. J’ai pu par exemple arrêter de prendre de la morphine, les moxas suffisaient à diminuer la douleur et l’inflammation. Il est difficile de prouver un effet anti-tumoral, mais dans la mesure où les cellules cancéreuses n’apprécient guère la chaleur, la moxibustion appuie positivement les autres traitements. Elle peut se pratiquer seule et les moxas se trouvent facilement sur internet, privilégiez les purs bâtons d’armoise.

Tout de suite entrer dans une démarche spirituelle:

1. Méditation, par exemple le dialogue avec les cellules proposé par Guy Corneau.
2. Prier, demander au Seigneur ce que l’on souhaite vraiment, recevoir le sacrement des malades, participer à l’Eucharistie.
3. Au top de mes préférences : pèlerinage à Lourdes, retraite ignacienne ou autre dans le cadre d’une maison religieuse.

Dès que possible renouer avec une activité physique pour s’aérer:

1. Yoga, piscine,… dans l’eau certaines métastases font moins mal.
Voilà pour un début actif, il y a sans doute encore beaucoup de choses à essayer, l’important étant surtout de tout essayer et de ressentir ce qui convient le mieux, avec pour seul garde-fou de ne jamais céder à la superstition, et de toujours prier le Seigneur qu’il nous garde du malin.

Et finalement, le plus important: ne pas oublier de vivre, de se donner des temps sans penser à la maladie, des espaces de pure liberté ; je crois déceler le chemin de la vie spirituelle pour le malade, lorsque dans ses prières il ne s’intéresse plus à sa souffrance ou à sa guérison, mais qu’il se laisse emporter dans un souffle créateur et vivifiant.

 

Pascal Fessard | 29.02.2016

Dr Eric Kiener
29 février 2016 | 19:51
par Pascal Fessard
Temps de lecture : env. 4  min.
Alimentation (28), Cancer (9), Eric Kiener (1), Guérison (11), Maladie (49), médecine (44), Prière (197)
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