Le pape rappelle que ce sont les plus fragiles que la dégradation de l'environnement affecte en premier. (Photo: Jean-Claude Gerez)
International

Le pape a écrit à l'Eglise du Brésil

Dans son message du 11 février pour la Campagne de fraternité 2016 de l’Eglise au Brésil, sur le thème «maison commune, responsabilité commune», le pape François a écrit: «Nous avons tous la responsabilité de notre Maison commune, qui implique les gouvernants et toute la société».

Cette année, cette initiative de Carême se réalise en partenariat avec la campagne de Carême annuelle de Misereor, organisation de l’Eglise catholique allemande en faveur du développement.

Dégradation de l’environnement et de l’homme

Citant l’Encyclique Laudato si’ sur l’écologie humaine, le pape rappelle notamment que la dégradation de l’environnement et celle de l’être humain sont liées, et affectent «les plus fragiles de la planète». «Approfondissons la culture écologique, encourage-t-il, qui ne se limite pas aux réponses partielles» mais requiert «une pensée, une politique, un programme éducatif, un style de vie et une spiritualité qui opposent des résistances au paradigme technocratique». (cath.ch-apic/imedia/bl/gr)

Le pape rappelle que ce sont les plus fragiles que la dégradation de l'environnement affecte en premier.
11 février 2016 | 17:42
par Grégory Roth
Temps de lecture : env. 1  min.
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